Nous étions une vingtaine d’adhérents à nous réunir le samedi 16 mars dernier au CoworkCity d’Alfortville pour la première inter-commissions de l’association !
Le format du forum ouvert nous a permis de développer un certain nombre de sujets de manière spontanée. Les échanges ont été riches dans chaque atelier. Une retranscription est disponible sur Agora [Dossier « Intercommissions » > « Compte rendu »].
En résumé, voici les principales thématiques soulevées dans les différents groupes de travail :.
Derrière un titre volontairement provocateur, l’atelier « Du Nutella dans les rayons ? » a permis de clarifier notre politique en matière d’approvisionnement, et de réfléchir aux critères que nous souhaitons inscrire dans une charte. Le débat s’est par la suite orienté sur la hiérarchisation ou non de ces critères et sur la manière dont nous devons communiquer sur le sujet.
La réduction des déchets figure également en tête de liste de nos préoccupations. De par l’implication de certains de nos adhérents à La Louve, nous avons pu identifier quelles sont les bonnes pratiques pour la gestion du vrac et les difficultés auxquelles nous serons confrontés.
Améliorer la coopération des adhérents des Amis de la Coop’Cot : un point central pour faire avancer le projet. Plusieurs idées ont été évoquées notamment dans le cadre du Groupement d’achats (GA). L’objectif étant de faire participer davantage les adhérents aussi bien pour l’organisation du GA que pour les inviter à commander sur La Cagette.
La réflexion s’est aussi posée sur la contribution des adhérents aux événements associatifs et aux différentes commissions.. Améliorer la coopération des adhérents, c’est aussi favoriser leur intégration. Un parcours du nouvel adhérent a ainsi été imaginé parmi les participants à 2 ateliers. Des efforts sont à fournir en terme de communication interne et externe. Il appartient au Collège des adhérents de travailler sur ces questions en collaboration avec les autres commissions.
La question du local a été enfin abordée. Nous avons ainsi rappelé nos priorités en termes de surface et de localité. L’épicerie-test est bien une étape transitoire avant d’évoluer vers le supermarché, et rien ne s’oppose à démarrer notre épicerie sur une surface de 800-1000 m² si nous recevions une telle proposition !
Le Collège des Sages et la commission gouvernance vont se saisir des propositions émises lors de ces ateliers et donneront les pistes de travail à suivre dans chaque commission.